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Nous avons eu avec mon frère aîné, Alain Rotulo, une enfance privilégiée sans nous en rendre compte et nous étions très attachés à nos parents. Mon frère adorait la mer et s’activait sur le Belouga familial ; le bateau trône encore, cinquante ans après, dans le bassin. De mon côté, je n’ai jamais abandonné ma chère mère, elle fut de tous mes voyages, de toutes mes balades à Gros-Jonc ou à la Conche. Je lui ai voué un amour sans limite et tous ceux qui m’ont approchée le savent. Mon père est décédé le 9 novembre 1998, ma mère l’a suivi le 14 décembre 2000. Je dédie, à tous ceux qui sont arrivés dans l’Ile de Ré à la même époque et qui ont vécu, j’en suis sûre, des choses tout à fait semblables, l’ensemble de mon travail et de mon œuvre sans cesse renouvelée.